Ce printemps, j'avais commencé à protéger les menuiseries extérieures en passant la couche d'apprêt à l'huile dure.
Je profite des matinées ensoleillées de ces derniers jour pour passer la première couche de lasure.
Il s'agit d'une lasure non filmogène, laissant le bois respirer :
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Maintenant que les mesures sont prises, je me débarrasse du morceau de parepluie temporaire sous lesquel les frelons s'étaient installés :
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Je commence par prendre des repères sur le haut de la façade Sud, qui va recevoir le brise-soleil.
Mais j'ai honte : je vais devoir détruire un nid de frelons. Pourtant, avec tout ce que je viens de lire dans "la Hulotte", je sais pertinamment qu'il n'y a aucune raison de craindre ces bestioles.
Et effectivement, jusqu'ici leurs allées et venues ne me dérangent pas, nous cohabitons de manière tout à fait cordiale. Le problème, c'est que le nid est juste à côté d'un endoit où je vais arrimer un des éléments de la structure du brise-soleil. Et lorsque je vais m'approcher à quelques centimètres de leur nid pour jouer de la perceuse, de la visseuse et du marteau, nul doute que nos relations vont s'envénimer. Il me faut donc agir sans tarder.
De loin, si ce n'est le ballet des frelons, on ne distingue pas grand chose. Je n'en prépare pas moins le matériel :
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Par manque de temps, je n'avais pas posé le plancher en OSB4 de la buanderie, qui est peu à peu devenue un espace de stockage hétéroclite.
Je commence donc par faire le ménage :
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Les oiseaux ayant malheureusement tendance à percuter les baies vitrées, je met en place des silhouettes sensées les éloigner :
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Merci à Hervé Galès qui me donne des petits plans de sedums.
Je commence donc les plantations sur le toit :
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