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autoconstruction en bois
J'appelle ceci un faux-grenier parce qu'on peut parler, aux choix, d'un petit plancher ou d'une grosse étagère. Ce faux-grenier procurera du volume de rangement, tout en abritant la remorque. À noter qu'à peine construit, il est déjà rempli :
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J'ai opté pour une cuisine d'entrée de gamme, ayant une franche aversion pour le design actuel qu'on tente de nous imposer dans tous les magasins, quels qu'ils soient.
Pourquoi autant de magasins pour nous présenter exactement la même chose ?
Mon choix s'est donc trouvé très réduit, et j'ai choisi une esthétique toute simple en bois clair (bouleau), qui aura l'avantage de bien capter la lumière.
Montage des caissons des meubles de la cuisine :
J'ai décidé de carreler mon plan de travail avec des ardoises épaisses, obtenues à bon prix, car c'est un reste de chantier.
Dans un premier temps, il s'agit de les disposer pour voir comment les placer, puis d'effectuer les découpes.
Le stock :
Je passe maintenant à la mise en place définitive des ardoises, à la colle à carrelage.
Le plan de travail, comme l'OSB de fond de crédence ont au préalable reçu une sous-couche de colle à tapisserie.
Le résultat :
Mise en place de bordures, sur le champ du plan de travail, et en haut de crédence.
Il s'agit de tasseaux de douglas (reste de stock), raboté et arrondis à la défonceuse :
Il s'agit maintenant de réaliser les joints entre les ardoises.
Dans un premier temps, je pense gagner du temps en utilisant du joint à carrelage, mais cela s'avère une catastrophe. Le joint sèche à grande vitesse, que ce soit sur les ardoises ou l'outillage, et le nettoyage est très laborieux.
Je défait rapidement cet essai, et je réalise finalement mes joints au mélange chaux-sable :
