Nous commençons par le côté le plus bas de la toiture, et décidons de poser les chevrons et les panneaux de DFP au fur et à mesure.
Ces panneaux ont la particularité de ne pas opposer de résistance au passage de la vapeur d'eau, et par conséquent évitent tout problème de condensation dans les murs.
À quatre personnes (deux en manutention au sol, et deux à la pose sur le toit), le travail avance assez vite.
Le résultat à la fin de la première journée :
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Je pensais passer l'hiver avec le pare-pluie pour seule toiture, en reportant la réalisation de la toiture végétale au printemps prochain.
Mais trop de personnes (dont des professionnels) me l'ont déconseillé : le pare-pluie n'est visiblement pas conçu pour supporter directement les précipitations, et risque de s'user prématurémment, voire de fuire.
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Nous passons à la pose des panneaux d'OSB4 qui formeront le fond de la toiture végétale :
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Pour assurer l'étanchéïté définitive de ma toiture, j'ai besoin d'une membrane EPDM (caoutchouc) de 320 m2.
Après l'avoir cherchée à proximité, c'est finalement chez Sodaf-Geo à Belleville-sur-Vie que je la trouve.
Et pour être sûr de l'avoir ce week-end, je vais moi-même la chercher :
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Petite vue aérienne sur les 3 m3 de gravier roulé destinés au lest de la bâche EPDM :
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Il est temps de préparer les évacuations pluviales en bas de la toiture.
Il s'agit donc de positionner les trous d'évacuation, et poser le lattage horizontal (qui supportera le bardage) :
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Des raccords spécifiques (ici posé à l'envers) doivent être collés sur la bâche EPDM pour assurer l'évacuation de l'eau :
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Mise en place des tasseaux de renfort (profilés pour ne pas agresser la bâche EPDM) en bas de la toiture :
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Le substrat de la toiture végétale (mélange de 50% terre végétale et 50% pouzzolane) est livré en 16 big-bags :
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