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autoconstruction en bois
La bâche EPDM déborde pour l'instant largement des rives, sur les quatre côtés de la toiture.
Je prépare donc des cornières en alu pour fixer l'EPDM en tête des rives :
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Merci à Hervé Galès qui me donne des petits plans de sedums.
Je commence donc les plantations sur le toit :
Le substrat végétal de la toiture contenait forcément quelques graines qui, avec l'humidité de cet été, en ont profité pour germer :
Ce jeudi, je pose les grilles anti-moineaux en haut du mur extérieur Nord, pour empêcher les moineaux et autres petites bêtes d'aller s'installer dans la lame d'air sous la toiture végétale.
Cela aurait dû être fait depuis longtemps :
Au sortir de l'hiver, les sedums que m'avaient donné un ami (merci Hervé), et que j'avais plantés sur quelques mètres carrés dans l'angle Sud-Est de la toiture, ne semblaient guère vivaces.
Voici à quoi ils ressemblaient au 07/04/2012, et ils me faisaient pitié :
Enfer et putréfaction !
En posant le bardage du côté Nord, j'aperçois, juste au dessus de l'entrée, des écoulements d'eau le long du parepluie qui protège (heureusement) l'enveloppe isolée, sur à peu près un mètre de large, soit trois chevrons :
Ce Lundi je décide de monter sur la toiture à la recherche de ma fuite au dessus de l'entrée.
D'abord je verse de l'eau sur la bâche EPDM, dont je décape l'argile avec une brosse plastique.
Je ne tarde pas à trouver, côte à côte, une entaille et un trou :
Début de mise en place des 11 rouleaux de géotextile (deux couches) sous le substrat :
