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Joomla

Après plus de cinq années de bons et loyaux services, il est temps d'abandonner Joomla 1.5 !

J'avais bien envisagé de migrer aux versions suivante en temps et en heure, mais l'absence d'outils de migration digne de ce nom m'avait toujours fait reculer.

Cette fois, je n'ai plus le choix, car mon hébergeur abandonne PHP 5.3 dans quelques semaines ...

Lors de mon passage à Fedora-17, j'étais resté avec le bureau Gnome-3, ayant à peu près réussi à le personnaliser à ma convenance.

Lors de la mise à jour vers Fedora-19, de nouvelles déconvenues sont apparues, le bureau Gnome se spécialisant résolument vers les tablettes, au mépris des postes de travail.

J'ai alors testé le bureau KDE qui, à ma grande surprise (vu le mal qu'on m'en avait dit), me convient parfaitement !

J'ai eu ma première connexion ADSL en 2005.
Ce n'est vraiment pas vieux, huit ans seulement !
Tout de suite, j'ai vu le web comme une espèce d'encyclopédie mondiale, et j'ai retrouvé en surfant le plaisir que j'avais, gamin, à feuilleter des heures durant la série de livres des "Tout l'Univers".

De Juin 2010 à Avril 2012, je n'ai plus eu accès à internet, saut à de courtes périodes d'environ trente minutes par semaine, juste le temps en fait de consulter ma messagerie et d'y répondre.
En Avril 2012, je récupère une liaison ADSL, je retrouve avec avidité mes sites préférés, et je me délecte de nouvelles recherches ...
Une chose me choque rapidement : pendant mes quelques mois (en fait presque deux ans) de blackout, les pages d'accueil d'à peu près tous les sites ont sévèrement évoluées.

fedora

Changement de matériel :

Un changement de matériel, c'est à dire l'abandon du portable pour retrouver un PC de bureau, est l'occasion de me débarasser d'Ubuntu qui me pourrit la vie ces derniers mois.

Je passe un peu de temps à chercher une autre distribution, basée sur un autre bureau.

J'avais presque arrêté mon choix sur le bureau xFCE, lorsque je suis tombé sur la distribution Fedora.

ubuntu

Linux-Ubuntu :

C'est en 2006 que j'ai fait le grand saut vers Linux sur mon PC, en abandonnant Windows XP pour la distributuion Ubuntu.

Cela faisait un moment que j'en avais envie, mais que le temps me manquait.

Ubuntu m'a donc accompagné durant six années, d'abord sur mon PC, ensuite sur un ordinateur portable.

Et ma foi, hormis quelques recours au terminal ici où là, tout se passait bien ...

Jusqu'à l'arrivée de Unity !

Quel CMS :

A l'époque où je me suis attellé à ce travail, je n'avais pas beaucoup de temps devant moi.

Une rapide recherche m'avait orienté sur les CMS suivants, tous les trois très répandus et disposant d'une communauté de développement active :

  • WordPress ;
  • Dupral ;
  • Joomla .

J'achète cette calculatrice, non pas par besoin, mais parce que pour un programmeur de l'époque, et depuis sa sortie en 1979, la HP41C était un mythe.

Elle l'est d'ailleurs toujours, et s'échange (tout comme ses périphériques) un bon prix, là où les ordinateurs de poche BASIC, à peine plus récents et parfois plus performants, se bradent littéralement.

D'excellente qualité de fabrication, elle me sert encore quotidiennement malgré ses 26 ans d'âge, toujours aussi agréable à utiliser pour la moindre opération comme pour des calculs plus compliqués.

la HP41C propose :

  • un afficheur LCD de 12 caractères alphanumériques (à 14 segments) ;
  • un clavier également alphanumérique ;
  • une mémoire non volatile de 440 octets (ou 63 registres);
  • la fameuse "notation polonaise inverse" (RPN) ;
  • une grande autonomie ;
  • des performances exceptionnelles à sa sortie (1979) ;
  • 4 emplacements pour des modules d'extension ;
  • des périphériques en grand nombre ...

Cette calculatrice se permet en outre d'être compacte et sobre :

En ce début d'année 1984, je découvre l'informatique familiale avec un Commodore 64.

C'est un nouveau changement d'échelle :

  • un véritable clavier ;
  • un affichage texte digne de ce nom avec 25 lignes de 40 colonnes ;
  • un affichage graphique de 320x200 pixels, en 16 couleurs ;
  • un générateur de son ;
  • une mémoire vive de 64 Ko (40 Ko exploitables en BASIC) ;
  • une mémoire morte de 20 Ko (système, basic, générateur de caractères) ;
  • un port cartouche pour ajouter de la mémoire (morte ou vive) ;
  • un langage BASIC rudimentaire (aucune instruction pour les graphismes et les sons) ;
  • un lecteur de disquette 5"1/4 d'une capacité de 170Ko par face de disquette ;

Ce petit ordinateur est compact (quoique les premières versions françaises nécessitaient un boitier d'interface PAL vers SECAM aussi gros que le C64 lui même) :