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autoconstruction en bois
Je me suis décidé à héberger les ruches de Stéphane, un ami apiculteur amateur.
Il a donc fallu commencer par débroussailler un espace au fond du terrain :
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L'activité des ruches reste modeste avec le temps froid et pluvieux, d'autant que la floraison des pruneliers est terminée.
Les services météo n'annonçant pas d'amélioration, il est décidé d'effectuer un nourrissement des ruches pour les aider à démarrer.
Il s'agit de placer un pot d'eau très sucrée dans une réhausse :
Ce lundi matin, une belle journée s'annonce.
Lors de ma visite matinale au rucher, je constate une activité intense et inhabituelle autour des ruches, et plus encore dans le grand prunelier à proximité.
Je commence par penser que les abeilles profitent du réchauffement de l'atmosphère pour sortir en masse :
Ce mardi midi, je visite le rucher.
Surprise : quasiment au même endroit qu'hier, un nouvel essaim :
Ce vendredi, Dany passe visite les deux ruches.
On note que les deux ruche n'ont pas la même activité :
Ce mardi matin, Stéphane est appellé pour récupérer un essaim.
Dany n'étant pas disponible, c'est moi qui l'accompagne.
Avec l'enthousiasme des débutants, nous nous précipitons le midi, et nous réussissons, non sans mal, à le transférrer dans une ruchette :
Vendredi, 13H00, des amies me préviennent qu'un essaim vient d'arriver chez elles et s'est posé sur un arbre.
Je finis à peine de déjeuner, enfourne tout le matériel dans la voiture, et me rend sur place.
L'essaim s'est posé au bout d'une branche, à un peu plus de trois mètres de hauteur :
Ce Jeudi, Dany passe visiter les ruches.
Toujours, une belle différence d'activité entre les deux ruches :
