La TI58C et son langage machine ayant réussi à m'inoculer le virus de la programmation, j'investis pendant mon année de première dans un de ces ordinateurs de poche qui viennent d'arriver sur le marché. Après avoir rếvé d'un Sharp-PC1500 (trop cher), hésité ensuite sur un Sharp-PC1211, mon choix se fixe sur un Casio-FX702P, plus rapide.
Par rapport à ma précédente calculatrice programmable, je change de monde :
Cette machine me permettra donc d'apprendre le langage BASIC :
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L'été (1981) précédant mon entrée en classe de seconde, on m'offre une calculatrice programmable, une Texas-Instrument TI58C. Ce n'était pas l'entrée de gamme (la TI57), ni le haut de gamme (la TI59), mais elle venait juste de sortir.
C'est probablement ce petit bijou de technologie (pour l'époque) qui fut à l'origine de ma passion pour la programmation.
Equipée d'un afficheur à LED de 12 chiffres, alimentée par batterie rechargeable, elle disposait d'une mémoire "constante" de 540 octets qui, chose extraordinaire, se conservait lorsqu'on éteignait la machine. Cette mémoire pouvait se répartir entre programme (480 pas de programme maximum) et données (60 mémoires maximum).
Cette calculatrice avait pour particularité de recevoir des petits modules de mémoire morte contenant 5000 octets de programmes spécialisés, et elle était d'ailleurs livrée avec un module à orientation mathématique (on le voit sur la photo ci-dessous à droite).
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Les premières machines à utiliser le premier microprocesseur (Intel 4004) furent la calculatrice Busicom 141-PF et la sonde Pioneer 10 :
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Le premier ordinateur à utiliser des circuits intégrés fut l'IBM 360 :
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En outre, il avait été conçu pour être très polyvalent, ce qui lui a assuré un grand succès.
Le premier ordinateur à transistors fut le Bell Labs - Tradic :
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La vitesse de traitement fait un nouveau bond, tandis que la puissance électrique nécessaire au fonctionnement s'effondre littéralement.
Le premier ordinateur à tubes fut l'Eniac :
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Le gain en vitesse de traitement est énorme.
Le premier calculateur programmable fut le Zuse Z3.
Ci-dessous, une reconstitution exposée au Deutsches Museum de Munich :
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Construit à partir de relais, il était particulièrement lent, quoique fonctionnel.