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autoconstruction en bois
Je démarre l'apiculture à l'improviste, sans matériel, mais j'ai de la chance.
Un de mes oncles (merci tonton Robert) me fournit une ruche Dadant (avec de quoi monter des cadres), agée de 20 ans mais n'ayant jamais servie, et stockée au sec :
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Ce Vendredi, Dany et Stéphane viennent pour une visite approfondie des deux ruches.
Encore et toujours, une grande différence d'activité entre les deux ruches :
Ce dimanche midi, en allant visiter le rucher, mon attention est attirée par un bruissement désormais caractéristique. Et je ne me trompe pas : en haut d'un petit chêne, je distingue un essaim :
Je suis en train de faire du rangement lorsque, à 19H passées, Stéphane m'appelle : on vient de le contacter pour aller récupérer un essaim posé sur le mur de l'église du bourg d'à côté.
Comme il n'est plus disponible, je m'y colle.
L'essaim est effectivement posé en coin de mur, du sol jusqu'à un mètre de hauteur, après avoir apparemment passé une partie de la journée sur le bord de la toiture :
C'est bien beau de récupérer des essaims, mais on n'a plus de ruches où les mettre !
Heureusement, Stéphane récupère deux vieilles ruches 12 cadres et m'en donne une.
On commence donc par jouer de la brosse métallique et du chalumeau :
L'essaim récupéré il y a 12 jours est toujours dans sa ruchette en carton.
Comme il y a beaucoup d'activité, je décide de le transférer dans sa ruche, enfin prête :
Après la récolte, l'extraction.
Nous nous retrouvons, moi-même, Stéphane, Dany et Philippe pour notre première extraction.
La première étape est la désoperculation des cadres de miel :
